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Selon TSA, le chef d’état-major de l’ANP et vice-ministre de la Défense nationale, le général Ahmed Gaïd Salah, aurait chargé la Gendarmerie nationale de reprendre les enquêtes sur la corruption.

C’est officiel. La présidence de la République a annoncé, dans un communiqué diffusé via l’agence officielle APS, la nomination d’un nouveau gouvernement.

« Conformément aux dispositions de l’article 79 de la Constitution, M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a pris, ce jour, après consultation du Premier ministre, un décret présidentiel portant nomination des membres du gouvernement », indique le communiqué de la présidence de la République.

Sont nommés Mesdames et Messieurs :   

- Abdelmalek Sellal, Premier ministre

Les démarches entreprises par Sellal pour faire participer des partis de l’opposition à la formation de l’Exécutif ont échoué jusqu’à présent.

Première surprise du nouveau gouvernement : l’écrivain et journaliste, Hamid Grine, est nommé ministre de la Communication. Mohamed Djellab devient ministre des Finances. Abdeslam Bouchouareb, qui a dirigé la communication de la direction de campagne de Bouteflika, est nommé ministre de l’Industrie et des Mines. Amara Benyounes devrait hériter du portefeuille du Commerce. Mohamed Ghazi devient ministre du Travail. Ramtane Lamamra (Affaires étrangères), Tayeb Belaiz (Intérieur), Hocine Necib (Ressources en Eau) et Abdelmadjid Tebboune (Habitat) conservent leurs postes.

Selon notre correspondant à l’ANC, la présidence du gouvernement aurait envoyé une correspondance à l’Assemblée Nationale constituante l’appelant  à ne pas traiter la motion de censure contre Amel Karboul et Ridha Sfar dans une séance plénière, mais dans une réunion des présidents (Blocs, commissions…)  qui se tient à huis clos.

Par ailleurs, selon les informations qui ont fuité des coulisses, certains députés pourraient retirer leurs signatures pour que la motion de censure soit rejetée en la forme. Plus de détails dans cette correspondance.

"Le président du parti Alliance populaire progressiste (APP) et d'ailleurs du Conseil Économique et Social (CES), Messaoud Ould Boulkheir n'est pas candidat à l'élection présidentielle prévue le 21 juin de l'année en cours" c'est ce qu'a confié une source proche de Messaoud à l'Agence Tawary d'Information.

"Le leader de l'APP ne se présentera tant que des conditions consensuelles et transparentes ne sont pas réunies et il exige la refondation de la CENI et un dialogue franc et juste entre toutes les parties"ajoute notre source.

On Monday, the Electoral Complaints Commission (ECC) began broadcasting complaint cases of frauds and violations that took place in the western and southern provinces of Farah, Ghor, Kandahar, Badghis, Orozgan, Helmand and Herat provinces.

During the press conference, the ECC officials showed video footages of frauds taking place exposing a number of powerful figures, such as school principles and Independent Election Commission (IEC) employees, committing fraudulent acts.

Le leader du mouvement Ennahdha, Ameur Larayedh, a considéré que le facteur temps ne permet pas d’organiser les élections présidentielles et législatives séparément avant la fin de 2014.

En plus, la séparation de l’organisation des élections nécessitent des fonds supplémentaires à l’État. 

Hamma Hammami a indiqué de sont côté que l’organisation des élections législatives et présidentielles en parallèle ouvre la porte à la falsification des résultats.