Trois jours après le scrutin du 7 octobre, la prochaine coalition gouvernementale commence à se dessiner. En catimini, le PJD essaie d’amadouer le PI, le MP et le PPS. Les détails.
ÉLECTIONS - Selon plusieurs médias, le Parti de la justice et du développement (PJD) se dirige vers la récupération de son siège parlementaire à Mediouna, pour porter à 126 le nombre de sièges conquis.
Le politologue Mohamed Tozy revient sur les résultats des élections législatives. Pour lui la victoire du PJD n’est pas une surprise, mais elle ne sera complète que si le parti arrive à constituer une majorité.
Quelle est votre lecture des résultats des élections ? La victoire du PJD était-elle prévisible ?
Driss El Yazami a présenté, le 9 octobre, une synthèse du rapport préliminaire sur l’observation des législatives. Voici ce qu’il faut en retenir.
Selon le bureau politique du PPS, des urnes ont été « manipulées » dans certains bureaux de vote et centres de dépouillement et ont eu des incidences sur le nombre de sièges remportés par le parti.
Le Bureau politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS) a tenu une réunion le samedi 8 octobre consacrée essentiellement à l’analyse des résultats du scrutin du 7 octobre, tant au niveau du parti et sa performance, qu’au niveau du processus électoral.
RABAT, Morocco — Voting in Morocco last week was largely free and fair, the country’s election observer body said Sunday, but it is investigating some cases of vote-buying and expressed concern about low turnout.
Los religiosos del PJD consiguen un tercio de los escaños del arlmento, según las primeras cifras oficiales.
Dans un communiqué difundé dans la nuit du 7 au 8 octobre, la Jamaâ d’Al Adl Wal Ihssan a estimé que le taux de participation de 43 % au scrutin annoncé par Mohamed Hassad, minintre de l’Intérieur, et « faussé ». Pour le mouvement islamiste non autorisé mais toléré, celui-ci n’aurait pas dépassé les 26 %. Aussi, il reséterait « le boycott massif des Marocains ».
Dans un entretien avec le site de la chaîne qatarie Aljazeera.net, Benkirane affirme qu’aucune alliance n’est envisagée avec le PAM, pourtant seconde force politique au Maroc.
