Benflis dépose le dossier de demande d'agrément de son parti avant la fin du mois de juin
Benflis a indiqué, que le pôle du changement « rejette » les consultations politiques autour du projet de la révision constitutionnelle, initié par le pouvoir.
Benflis a indiqué, que le pôle du changement « rejette » les consultations politiques autour du projet de la révision constitutionnelle, initié par le pouvoir.
Les leaders des partis qui composent la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique se rencontreront ce matin à Alger.
Objectif : peaufiner la plateforme qui devra servir de document de base à présenter à la conférence nationale des forces de l’opposition qui se tiendra le 10 juin prochain à Alger. Avant la réunion des états-majors, des cadres des partis se sont attelés des mois durant à la rédaction d’une plateforme qui sera le représentant de ce conglomérat à la conférence nationale qui tentera de ratisser large.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) dresse un constat accablant sur la situation politique actuelle et met en garde contre les périls qui guettent le pays.
Pour faire connaître sa vision de la révision de la Constitution, l’Alliance nationale républicaine (ANR) organise, d’ici la semaine prochaine, trois rencontres régionales.
Ali Benflis maintient le suspense sur sa participation à la conférence nationale pour la transition démocratique prévue le 7 juin. « Nous avons des contacts réguliers avec la Coordination. Au niveau du Pôle, la question n’est pas encore tranchée », a déclaré, ce dimanche 25 mai, le candidat malheureux à la présidentielle du 17 avril devant les partis politiques composant le Pôle du changement. Il a indiqué qu’il était prêt à dialoguer avec le pouvoir, mais il pose ses conditions. « Nous sommes en train d’élaborer au niveau du Pôle notre plateforme pour une sortie de crise.
Le FIS prépare son retour sur la scène politique. L’ex-chef de l’Armée islamique du salut (AIS), Madani Mezrag, a indiqué dans un entretien publié ce dimanche 25 mai sur Echourouk, que le parti dissous va organiser une « grande » conférence après la révision de la Constitution. L’objectif : revenir avec un nouveau projet politique sur de nouvelles bases. Ce projet, a-t-il expliqué, corrigera les erreurs qu’a commises le parti auparavant et s’ouvrira sur des idées qui contribueront à la construction d’un État de droit et de justice.
Le projet de révision de la Constitution manque de sérieux et les amendements proposés sont inconsistants, a estimé ce vendredi le président du RCD. « Les consultations décidées autour d’une révision consensuelle de la Constitution, avec notamment la classe politique, ont essuyé un cinglant rejet de l’opposition. Le projet de Constitution adressé aux partis politiques confirme le manque de sérieux de la démarche et l’inconsistance des amendements proposés. Aucun problème fondamental n’a été abordé.
Le RCD a estimé ce vendredi à Alger que la police politique, dont il réclame la dissolution depuis plusieurs années, garde toujours sa capacité de nuisance en dépit des derniers changements opérés au DRS, dans une allusion à des tentatives pour torpiller la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD).
Près d’une année après avoir obtenu l’autorisation de tenir son congrès constitutif, l’Union démocratique et sociale (UDS) subit des entraves et des blocages politico-administratifs, l’empêchant de préparer ses assises.
Ali Benflis, l’ancien candidat à la présidentielle, a décidé de décliner l’invitation qui lui a été adressée par Ahmed Ouyahia en vue de participer à la consultation pour la révision de la Constitution.
Au lendemain de son adoption par le Conseil des ministres, le plan d’action du gouvernement descend à l’APN. Le document a été déposé ce jeudi 22 mai au niveau du bureau de la chambre basse du Parlement. Premier constat à la lecture du document dont TSA s’est procuré une copie : le programme du gouvernement Sellal, qui sera débattu en plénière dans une semaine, ne contient aucune nouveauté ni annonce importante. Le plan de 49 pages puise dans les engagements déjà annoncés et répétés durant les quinze années du règne du président Bouteflika.
Le Plan d'action du gouvernement pour la mise en oeuvre du programme présidentiel, adopté mercredi lors d'une réunion du Conseil des ministres, s'articule autour de différents axes, notamment le renforcement de la cohésion nationale, l'amélioration de la gouvernance, la promotion du développement humain et la moralisation de la vie publique.
Après avoir annoncé son rejet de prendre part aux consultations politiques autour de la révision constitutionnelle, Ali Benflis a rendu publique, ce mercredi 21, au nom de la transparence, la lettre qu’il a envoyée à Ahmed Ouyahia, chef de cabinet du président Bouteflika chargé de chapeauter ces consultations, par soucis.
Après la défection de partis et de personnalités politiques, Ali Benflis déclare son refus d’aller rencontrer Ahmed Ouyahia.
Le pôle national des Forces du changement a décidé de tourner le dos à l’offre du pouvoir concernant la révision de la Constitution.
Treize petits partis politiques qui avaient soutenu le candidat Ali Benflis ont annoncé, lundi 19 mai,leur décision de ne pas participer au projet révision de la Constitution inité par le pouvoir. Dans le même temps, Mouloud Hamrouche tient, de son coté, à des tables rondes avec des associations de la société civile pour prendre le pouls du pays, mais lui non plus ne semble pas désireux de donner son onction au projet de nouveau texte fondamental.
L’ancien chef de gouvernement considère que «les propositions sont manifestement le produit de préoccupations étroites du régime en place et certainement pas celles d’un peuple en attente de changement».
Les opposants à Amar Saadani, secrétaire général du FLN, ont décidé de mettre en place une direction unifiée regroupant 21 membres ; elle sera présidée par Abderrahmane Belayat, alors que Aïssi Kassa en sera le porte-parole et Mohamed Bourzam le rapporteur.
Porté au firmament pendant la campagne électorale, le mouvement Barakat (ça suffit) connaît des difficultés. Confrontés à des critiques internes, les principaux animateurs du mouvement, à la structure horizontale, sont à un virage historique.