Belkhadem démissionnera-t-il ?
Les redresseurs s’attendent à la démission du SG du FLN avant même la réunion du comité central.
Les redresseurs s’attendent à la démission du SG du FLN avant même la réunion du comité central.
L’Algérie serait-elle devenue un pays trop important pour laisser les Algériens décider seuls de leur destinée, plus que jamais menacée ? C’est que l’enjeu tétanisant de la présidentielle de 2014, retourne les entrailles au landerneau politique national, au point que sous nos latitudes particulières, c’est le fameux "mouvement" annoncé qui risque d’immobiliser le pays pour très longtemps encore.
Les noms des sénateurs désignés par le chef de l'Etat, M.Abdelaziz Bouteflika, au titre de membres du tiers présidentiel, sont connus.
Le Président Bouteflika a désigné deux membres du comité central du FLN, ennemis jurés de Belkhadem.
Ne nous cachons pas la vérité: le nomadisme politique tue l'esprit militant, il tue les partis, il tue l'activité politique et détruit le pays.
Les crises qui secouent les partis confirment qu'ils sont des appareils purement électoralistes.
La consécration de l’indépendance de la justice figure parmi les préoccupations majeures du Syndicat national des magistrats. Djamel Laidouni, son président, affirme même qu’il «ne peut y avoir de réformes politiques, sans une réforme du pouvoir judiciaire». Le budget de ce dernier ne doit en aucun cas dépendre du pouvoir exécutif, explique-t-il, lors d’une rencontre tenue hier, à la résidence des magistrats, avec les membres du Bureau national.
Le secrétaire général du mouvement El-Islah, Hamlaoui Akkouchi a plaidé hier, à Alger en faveur d’un régime parlementaire dans la prochaine révision de la constitution.
Lors d’une conférence de presse animée au niveau de son siège, M. Akkouchi a estimé que «les fondements de la constitution sont définis dans la déclaration du 1er Novembre, la démocratie et la fonction publique qui doit être au service du citoyen». Le système parlementaire consacre selon M. Akkouchi le principe de la démocratie et permet au peuple de choisir ces représentants dans les assemblées élues.
One of Algeria's most prominent politicians has resigned his post as the head of his political party in the latest political maneuverings ahead of next year's key presidential elections.
Ahmed Ouyahia, who was once considered a front-runner for the country's top post because of his backing by this oil-rich nation's powerful generals, announced Thursday his resignation as secretary general of the National Democratic Rally.
L’Assemblée populaire reprendra mardi prochain, ses travaux en séances plénières consacrées à l’examen et au vote de la loi portant approbation de l'accord de délimitation des frontières maritimes entre les républiques algérienne et tunisienne conclu le 11 janvier 2011. C’est ce qu’a décidé le bureau de l'Assemblée populaire nationale lors d'une réunion présidée par M. Larbi Ould Khelifa. La séance sera marquée également par la validation de la qualité de membre de nouveau député.
Le Conseil de la nation vient de connaître la composition de ses 48 membres à la faveur du scrutin du 29 décembre 2012 comptant pour le renouvellement de la moitié de ses 96 membres élus.
Les résultats de l’élection pour le renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la nation - dont le scrutin s’est déroulé samedi passé au niveau de chacune des 48 wilayas du pays - donnent l’avantage aux formations dominant la deuxième chambre du Parlement avec l’entrée pour la première fois de deux nouvelles formations politiques ainsi que le groupe des indépendants qui gagnent cinq sièges.
Veteran Algerian dissident Hocine Ait Ahmed is to step down as leader of the Socialist Forces Front which he has led since founding it in 1963, he said in a letter obtained by AFP on Saturday.
Ait Ahmed, 86, is the sole surviving member of the nationalist leadership that launched the war for independence from French colonial rule on November 1, 1954.
"The time has come for me to pass the baton. I will not present myself for the party leadership next year," he wrote in the letter to the party's national council which met in Algiers on Friday.
Le coordonnateur général du "mouvement de redressement et d'authenticité" du parti du Front de libération nationale (FLN), M. Abdelkrim Abada, a appelé, hier, le secrétaire général du parti, M. Abdelaziz Belkhadem, à se soumettre au vote, lors de la prochaine session du comité central, pour décider de son avenir à la tête du parti.
L’élection partielle pour le renouvellement de la moitié des membres du Conseil de la nation approche de son terme qui coïncide avec le 29 du mois, et pratiquement tous les partis politiques ayant obtenu suffisamment de sièges aux élections locales du 29 novembre peuvent postuler aux partielles sénatoriales.
Falling short of an apology, President Francois Hollande has acknowledged France's colonisation of Algeria was "brutal and unfair".
"For 132 years, Algeria was subjected to a brutal and unfair system: colonisation. I acknowledge the suffering it caused," Hollande told the Algerian parliament on Thursday on the second and final day of a landmark visit to the North African country.
L’opération d’installation des APC qui devait prendre fin hier, semble avoir toutes les chances de maintenir les positions de classement des partis politiques sur la base de la proclamation des résultats du 30 novembre passé. Dans cette optique, le FLN qui compte garder sa position de première force politique en tendant de se maintenir à la présidence d’un millier d’APC, réunira demain lundi, son bureau politique pour évaluer la situation et agir en conséquence sur le terrain dans la mesure de nombreuses communes traditionnellement lui acquises ont changé de couleurs.
La loi portant ouverture du champ audiovisuel au secteur privé doit, de l'avis de plusieurs partis, contenir des garde-fous bien définis et transparents à même de faire obligation aux investisseurs d'offrir des prestations médiatiques objectives et impartiales et d'empêcher les détenteurs de fonds et les personnes influentes d'accaparer ce secteur à des fins personnelles.
Cependant, les avis des responsa-bles de ces partis oscillent entre opposants et partisans de l'idée de création de chaînes de télévision, qui seraient la propriété des partis politiques.
Les nouvelles Assemblées populaires locales élues du double scrutin du 29 novembre dernier se mettent en place et construisent les maillons de la nouvelle gestion du développement en concertation à l’ère de l’exercice de la démocratie locale et du pluralisme politique mettant en compétition au sein de la gestion des exécutifs d’APC et d’APW plus de quarante partis politiques.
La loi électorale stipule que dans un délai de quinze jours qui suivent la proclamation des résultats des élections, l’Assemblée populaire communale élit son président parmi ses membres pour le mandat électoral des cinq années à venir. C’est surtout le cas pour 391 APC et 2 APW. Concernant les 1 076 APC et les 46 APW distribuées entre majorité relative et égalité des sièges, les discussions pour des alliances sont en cours, et apparemment les tractations ont propulsé à la présidence des APC des partis nouvellement agréés.